dimanche 28 décembre 2008

Réaction



Chère Nadjet,
La meilleure manière qui nous est donnée, à nous individus, pour donner du bonheur autour de nous, est de commencer par là où nous pouvons agir. Tu occupes une position qui te permet d’agir pour beaucoup d’enfants d’Alger. Et pas seulement les vendredi matin. Qu’attends-tu pour t’y mettre? Pourtant, je t’ai fait des propositions...
Bonne année 2009!
Amitiés,
Mohamed Faci
(réçu le 28.12.2008 )

Merci mon Ami,

Peut-être tu as raison ?
J’attends quoi pour agir ?...Pour m’y mettre ?
Vois-tu, je ne sais pas !
Mais je te prie d’accepter de ma part, cette belle citation, c’est ce que je sais faire sans plus !
Vous dites :
C'est fatiguant de fréquenter les enfants.
Vous avez raison.
vous ajoutez :
parce qu'il faut se mettre à leur niveau,se baisser, s'incliner, se courber, se faire petit.
là, vous avez tort.
Ce n'est pas cela qui fatigue le plus.
C'est plutôt le fait d'être obligé de s'élever
Jusqu'à la hauteur de leurs sentiments.
De s'étirer, de s'allonger, de se hisser
Sur la pointe des pieds.
Pour ne pas les blesser.

Janusz Korczak
"Quand je reviendrai petit"


jeudi 25 décembre 2008

LETTRE D'UN ENFANT PALESTINIEN AU PERE NOËL

Papa Noël où es-tu ? Je t'ai écris et réécris et tu ne réponds toujours pas. Peut-être que tu ne connais pas ce pays, peut-être ne le vois-tu pas, trop de sang le couvre.
Je veux retrouver mon père, le voir sans que des barrières nous séparent. Je veux une jambe pour mon frère, pour qu'il puisse courir comme les autres enfants, qu'il puisse aller où il veut. Je veux un sourire pour ma mère, je ne me rappelle plus de la dernière fois que je l'ai vu sourire. Et pour moi, une maison et un pays, et si tu pouvais me rendre mon enfance, si je pouvais revoir tous ces amis partis là d'où personne ne revient. J'en demande peut-être trop, je te jure j'ai été un bon garçon. Vient cette année. On va passer encore un Noël seuls, tristes, berces par la mort. Ne nous oublie pas, on t'attendra cette année, comme toutes les années. Je sais qu'on n'a pas de cheminée, ni même une vraie maison, pas d'adresse à laquelle tu puisses nous visiter, mais il faut que tu viennes, avant qu'il ne soit trop tard, avant que moi aussi je ne puisse pas t'attendre. Tu viendras cette année ? REPONDS !

Première publication : 25 décembre 2003, mise en ligne: jeudi 25 décembre 2003, par :

Rêve 2009

Sur le registre de mes années passées, et sur les pages de mon journal intime et en cette dernière semaine de l’année 2008 !
J'écris...
La minute de réflexion qui nous bascule du jour de l’An 2009, ne sera qu'une conclusion d'un décompte des années qui sont vite passées, comme une alerte à la conscience !
Je vois grandir mon rêve, chaque année, comme vous, et, chaque fin d’année, il revient, plus ambitieux que les années précédentes, gagne de l'espace dans mon espérance et surgit comme un cri du coeur :

Rêve 2009
Je ne dirais pas « j’ai rêvé… »
Quoique c’est une réalité, mais je préfère dire « JE REVE ! »
Et depuis longtemps, je ne cesse de rêver…
Oui, je rêve de planter dans mon jardin d’illusion une fleure géante qui ne se fane jamais…
Je rêve de me baigner dans un océan, pour purifier mon âme des tentations égoïstes.
Je rêve d’atteindre l’impossible sans se heurter à chaque impasse.
Je rêve de chasser le vent et confronter les plus grandes tempêtes.
Je rêve de tendre ma main pour aider l’humain sans penser à sa race, à sa religion, et à la couleur de sa peau !
Je rêve d’offrir un beau sourire sans attendre la contre partie. Je rêve d’aimer à l’infini sans jamais dire pourquoi ?
Je rêve d’apprécier les chances que j’ai, et que beaucoup n’ont pas.
Je rêve d’être reconnaissante envers mes parents, et envers mes amis, et de ne pas attendre l’occasion pour leur dire que je les aime.
Je rêve d’avoir plus de gratitude envers Dieu, et mieux accepter la vie.
Je rêve d’un monde de Paix, où tout le monde immerge dans la fraternité, l’égalité, et la prospérité.
Et enfin,je rêve de chanter la joie, sans avoir la voix, pour faire danser le monde…
Pourrais-je finalement, exaucer mon rêve cette année 2009, pour me libérer définitivement de mon sale caractère ?!!...

Nadjet

CITATION


Une année qui finit, c'est une pierre jetée au fond de la citerne des âges et qui tombe avec des résonances d'adieu.

Y’a quelque chose qui t’ennuie???

Ca t’ennuie d’étudier?
Eux non...

Tu détestes les légumes?
Ils les adorent !

Tu es au régime?
Ils meurent de faim !!!











La super protection de tes parents t’ennuie?

Ils n’ont pas de parents!!


Ca t’ennuie d’avoir toujours les mêmes jeux?




Ils n’ont pas le choix !!!!

On t’a acheté des “Adidas” et tu voulais des “Nike”?
Ils n’ont que ce modèle !!!!!




Ca t’ennuie quand on t’envoie te coucher…?








Eux, ne voudraient jamais se réveiller!!!


Apres cela si tu as toujours quelque chose qui t’ennuie……?
Regarde autour de toi
et apprécie tout ce que tu as pu avoir dans cette vie transitoire..........

Plains toi moins et apprécie plus les choses autour de toi car aujourd’hui aussi finalement c’est NOEL......


Fais suivre ce lien ou oublies cette page selon ta conscience

La rue n'a pas d'enfants

A Noël, une association a mobilisé l’opinion sur la situation des sans-logis en installant des tentes, le long du canal Saint Martin à Paris et ailleurs. Le thème de l’exclusion est à nouveau sur la place publique.

Dans les pays du Tiers monde, ce sont les enfants qui non seulement dorment, mais vivent dans la rue. Pourtant, il semble que personne ne les voit. Ils ne sont pas considérés comme des êtres humains mais comme des objets encombrants que l’on enjambe lorsqu’ils s’endorment de fatigue au petit matin.




Peut-on encore parler d’enfants ?

En Colombie, on les surnomme “jetables”, au Vietnam, “poussières de vie”. A Madagascar, on appelle les petites filles prostituées “tapis verts”.
Partout, on considère qu’ils font désordre et nuisent à l’image du pays.
Avant les visites officielles, dans certains pays, on les interne ou pire, on les élimine.
Peut-on encore parler d’enfants ?
Ceux qui vivent ainsi dans la rue sont des exclus de l’enfance. Ils gardent en eux des histoires qui, très souvent, sont difficiles à décrire ou à raconter. Il leur manque des mots pour exprimer exactement les souffrances qu’ils ont endurées. D’ailleurs, à qui pourraient-ils parler ? En dehors de leurs frères de rue, ils n’ont personne à qui se confier, personne pour leur donner des repères.A l’âge où ils sont censés jouer et apprendre, c’est leur existence même qui est en jeu et leur seul apprentissage est celui de la survie.


Peut-on être un homme sans avoir été un enfant ?

Véronique Zervudacki

Secrétaire générale

A.I.M.E.R

En 2007, A.I.M.E.R. soutient financièrement 25 projets en faveur des enfants de la rue, dans 17 pays : Afghanistan, Bénin, Brésil, Burkina-Faso, Burundi, Cameroun, Centrafrique, Guinée, Haïti, Inde, Madagascar, Mauritanie, Philippines, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal et Tchad.

La vérité sort de la bouche des enfants !!!

Le discours sur l’environnement qu’une adolescente de 14 ans a donné au siège de l’ONU par son franc parlé, et sa sensibilité a remis en place les dirigeants du monde…
"Salut, je suis Severrine SUZUKI et je représente l’E.C.O. l’Organisation des Enfants en défense de l’Environnement.Nous sommes un groupe d’enfants canadiens, de l’âge de 12 à 13 ans essayant de faire des efforts : Vanessa SUTTIE, Morgan GEISLER, Michelle QUIGG et moi.Nous avons réuni tout l’argent pour venir par nous-mêmes pour faire 5000 miles afin de vous montrer que vous devez changer votre façon de faire.En venant ici aujourd’hui, je n’ai pas besoin de déguiser mon objectif. Je me bats pour mon futur. Perdre mon futur n’est pas pareil que de perdre des élections ou quelques points de la bourse. Je suis ici pour parler au nom de toutes les générations à venir. Je suis ici pour parler au nom des enfants affamés de partout dans le monde, dont les cris ne sont pas entendus. Je suis ici pour parler au nom des innombrables animaux qui meurent parce qu’ils n’ont pas d’autre endroit où aller.J’ai peur d’aller au soleil dehors maintenant à cause du trou dans la couche d’ozone.J’ai peur de respirer l’air car je ne sais pas quelle substance chimique il contient.J’avais l’habitude d’aller pêcher à Vancouver, mon lieu de naissance, avec mon père, il y a juste quelques années en arrière jusqu’à ce qu’on trouve un poisson atteint du cancer.Et désormais, nous entendons parler d’animaux et de plantes qui s’éteignent tous les jours, perdus à jamais.Dans ma vie, j’ai rêvé de voir de grands troupeaux sauvages, des jungles, des forêts tropicales pleines d’oiseaux et de papillons mais aujourd’hui je me demande si ces forêts existeront toujours pour que mes enfants puissent les voir.Vous préoccupiez-vous de ces choses lorsque vous aviez mon âge ? Toutes ces choses se passent devant nos yeux et pourtant nous continuons à agir comme si nous avions tout le temps souhaité et toutes les solutions.Je suis seulement une enfant et je n’ai pas toutes les solutions mais j’aimerais que vous réalisiez que vous non plus !Vous ne savez pas comment réparer la couche d’ozone.Vous ne savez pas comment ramener le saumon dans les eaux polluées.Vous ne savez pas comment ramener à la vie les animaux désormais éteints et vous ne pouvez pas ramener les arbres des zones qui sont maintenant des déserts.Si vous ne savez pas comment réparer tout ça, s’il vous plaît, arrêtez la casse !Ici, il y a des délégués des gouvernements, des businessmen, des PDG, des journalistes et des politiciens, mais réellement, vous êtes pères et mères, frères et sœurs, oncles et tantes, et vous avez TOUS été certainement des enfants.Je suis seulement un enfant pourtant je sais que nous faisons tous partis d’une famille forte de 5 milliards de personnes, en fait 30 millions d’espèces et les gouvernements ne changeront jamais tout cela.Je ne suis qu’un enfant et pourtant je sais que le problème nous concerne, et que nous devrions comme un seul monde aller vers un seul but.Malgré ma colère, je ne suis pas aveugle et malgré ma peur, je n’ai pas peur de changer le monde comme je le sens.Dans mon pays, nous faisons tant de gaspillage, achetant et jetant, achetant et jetant, et pourtant les pays du Nord ne partagent pas même quand nous avons plus que suffisamment, nous avons peur de partager, nous avons peur de perdre un petit peu de notre richesse.Au Canada, nous menons une vie privilégiée avec de la nourriture, de l’eau et un abri. Nous avons des montres, des vélos, des ordinateurs et des télés.Il y a deux jours, ici au Brésil, nous avons été choqués en passant du temps avec les enfants qui habitent dans la rue.Voici ce qu’un des enfants nous a dit : « J’aimerai être riche et si je l’étais, je donnerais à tous ces enfants de la nourriture, des vêtements, des médicaments, un abri, de l’amour et de l’affection.Si un enfant dans la rue qui n’a rien est partant pour partager, pourquoi nous qui avons tout sommes si avares ? Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il y a un enfant de mon âge et que ça fait une immense différence où on naît, que je pourrais être un de ces enfants vivants dans les favelas de Rio. Je pourrai être un enfant mourrant de faim en Somalie ou victime de la guerre au Moyen-Orient ou un mendiant en Inde.Je suis seulement un enfant, pourtant je sais que si tout l’argent dépensé en guerres était utilisé pour trouver des réponses aux problèmes d’environnement, à en finir avec la pauvreté…Quel endroit merveilleux cette Terre serait ! A l’école, même dans un jardin d’enfants, on apprend comment se comporter dans le monde. Vous nous apprenez à ne pas nous battre entre nous, de travailler dur, à respecter les autres, à faire son lit, à ne pas blesser d’autres créatures, à partager sans avarice.Alors pourquoi sortez-vous et faites-vous les choses que vous nous dites de ne pas faire ? !N’oubliez pas pourquoi vous assistez à ces conférences, pour qui vous le faites, nous sommes vos propres enfants.Vous décidez dans quel genre de monde nous allons grandir.Les parents doivent être capables de consoler leurs enfants en disant : « Tout ira bien, ce n’est pas la fin du monde, et nous faisons du mieux que nous pouvons ! » Mais je ne pense pas que vous pouvez encore nous dire ça.Sommes-nous seulement dans vos listes de priorités ? Mon père disait : « Tu es ce que tu fais, pas ce que tu dis ! »Eh bien, ce que vous faites, me fait pleurer la nuit.Vous continuez à nous dire que vous nous aimez mais je vous mets au défit, s’il vous plaît, faîtes que vos actions reflètent vos mots. MERCI"
PAIX A TOUS
Nadjet

jeudi 18 décembre 2008

Chers Amis !

En ces temps des fêtes de fin d’Année, j’ai toujours eu une grande pensée, envers les gens et plus particulièrement aux malades et aux enfants, qui n’ont pas le privilège de les fêter, de recevoir ou d’offrir des cadeaux…
Je ne citerais pas les raisons, car elles sont bien connues, mais, je dirais tout simplement, pourquoi le monde est si cruel pour certains ?!
Mais l’égalité réside, dans ces cas là, dans une seule parole, qui unira les grands et les petits « Joyeux Noël pour certains, et pour tout le monde, Bonne et Heureuse Année ! »…
Pour les enfants du monde, je vous offre cette page de mon blog j’ai choisi deux histoires de l’univers des anges, pour en finalité se dire « sont-ils vraiment des gosses ?…

Et je vous offre dans le même contexte pour conclure cette mise à jour, un magnifique texte de mère Térésa.
Au fait, j’ai oublié de mentionner la chanson que j’ai choisi pour vous, qui risque de heurter votre vision, mais on dit bien que « la vérité …… ». Et, elle fait souvent mal !!!
Nadjet

Les enfants oubliés

Le plus beau cadeau



J'ai parcouru plusieurs kilomètres pour trouver le cadeau parfait pour mon enfant.
Après deux longues soirées, fatigué, j'ai pensé lui demander ce qu'il voulait.
Voici la liste de cadeaux qu'il m'a suggérée:

J'aimerais être Félix, notre petit chat,

pour être moi aussi pris dans vos bras chaque fois que vous revenez à la maison.
J'aimerais être un baladeur, pour me sentir écouté par vous deux, sans aucune distraction, n' ayant que mes paroles au bout de vos oreilles fredonnant l'écho de ma solitude...

J'aimerais être un journal

pour que vous preniez un peu de temps à chaque jour pour me demander de mes nouvelles...



J'aimerais être un téléviseur pour ne jamais m'endormir le soir, sans avoir été au moins regardé une fois avec intérêt...

J'aimerais être une équipe de hockey pour toi, Papa, afin de te voir t'exciter de joie après chacune de mes victoires;



et un roman pour toi, Maman, afin que tu puisses lire mes émotions...



À bien y penser, je n'aimerais être qu'une chose, un cadeau inestimable pour vous deux.

Ne m'achetez rien:
permettez-moi seulement de sentir que je suis votre enfant...»

Auteur Anonyme
Source : le site de Chez Gélibel

POUR NE JAMAIS OUBLIÉ CE QUI EST IMPORTANT....

UN MERVEILLEUX TEXTE PARTAGÉ PAR LA BELLE CÉLINA


Une fille aveugle se détestait tellement parce qu'elle était aveugle. Elle haïssait tout le monde sauf son ami, un jeune garçon. Il était toujours là pour elle. Un jour, elle lui dit "Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi."


Un jour, quelqu'un lui a fait le don de ses yeux. Quand les bandages ont été enlevés, elle fût capable de tout voir incluant son ami de garçon.
Il lui demanda, "Maintenant que tu peux voir le monde, te marieras-tu avec moi?"

La fille le regarda et vu qu'il était aveugle aussi. La vue de ses paupières fermées la bouleversa. Elle ne s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie la mena à refuser sa demande.

Son ami la quitta en pleurs et quelques jours plus tard lui écrivit une note qui disait :

"Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu'ils deviennent les tiens ils étaient les miens."
Voici comment le cerveau humain fonctionne souvent quand notre état change. Seulement très peu de personnes se rappellent ce qu'était la vie avant, et qui était toujours à leurs côtés dans les situations les plus douloureuses.








Tout de même

Texte placardé sur le mur de Shishu Bhavan, le foyer des enfants de Mère Teresa, à Calcutta

Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques Aimez-les tout de même !

Si vous faites le bien, les gens vous prêtent des motifs égoïstes ou calculateurs Faites le bien tout de même !


Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis Réussissez tout de même !

Le bien que vous faites sera oublié demain Faites le bien tout de même !

L'honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable Soyez honnête et franc tout de même !


Ce que vous avez mis des années à construire peut être détruit du jour au lendemain Construisez tout de même !
Les pauvres ont vraiment besoin de votre secours mais certains peuvent vous attaquer si vous les aidez Aidez-les tout de même !


Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même vous risquez d'y laisser des plumes Donnez ce que vous avez de mieux tout de même !